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Multiculturalisme au Gabon  


Gabon: Les Haoussas d'Oyem satisfaits d'avoir été reconnus Gabonais à part entière


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Yorick Kombila Manfoumby
Oyem

Le Président de la communauté haoussa d' Oyem, Tidjani Malem, a affirmé dimanche à GABONEWS, que les Haoussas de la ville d'Oyem (Nord) sont très satisfaits d'avoir été reconnus comme des Gabonais à part entière afin de jouir de tous les droits au même titre que les citoyens gabonais.

« Nos grands parents sont arrivés au Gabon au 19è siècle, plus exactement en 1890 et moi-même je suis né à Oyem en 1954. Nous avons été longtemps marginalisés et grâce au président Bongo Ondimba, nous avons obtenu ce que nous attendions depuis des siècles, c'est-à-dire la nationalité par le droit de sol et le droit du sang », a déclaré Tidjani Malem. « Cette démarche est l'aboutissement d'une longue lutte avec nos frères fangs qui nous ont longtemps traité d'étrangers. Finis les frustrations, nous saluons la décision du chef de l'Etat gabonais », a-t-il poursuivi. Les Haoussas qui sont par tradition commerçants et musulmans se sont imposés pendant la période coloniale comme intermédiaire entre les populations fangs (autochtones) et les colons dans la province, notamment à Oyem et Bitam les principales villes de la région. Les Haoussas ne sont pas que dans la capitale provinciale du Woleu - Ntem. On les retrouve également dans d'autres provinces comme l'Ogooué-Ivindo (Nord-Est).

En juin 2005, lors d'un Conseil des ministres, le chef de l'Etat gabonais, Omar Bongo Ondimba a reconnu les Haoussas comme communauté à part entière du Gabon. Pour vulgariser l'initiative du numéro un gabonais, un grand colloque avait été organisé un an plus tard. La ville d'Oyem compte plus de 1.000 Haoussas sur une population d'environ 34.000 habitants. Les Haoussas sont un peuple très migrateur. Les historiens situent leur foyer d'origine au Niger et au Nigeria en Afrique de l'Ouest. Ils sont de confession musulmane.










Region velle Koumounouboualy
c'est le réchauffement du Kibangien.

La route de Fougamou à Ndendé, passant par Mouila, traverse une pénéplaine faiblement ondulée

encastrée entre les hauteurs boisées du massif granitique du Chaillu à l’est et du schiste-gréseux des monts Tandou à l’ouest.

le massif cristallin du Chaillu

de I'lkoundou et du Chaillu.
contreforts du chaillu
bouenziennes
Plaine de ndende et chibanga
savanes et steppes
arachidière de Lébamba
des formations précambriennes supérieures du "synclinal de la Nyanga", laissant apparaître au nord-est le substratum cristallin du massif du Chaillu.
Riz sur Ikoundou

des

monts Fouari et Pali.

en lacets de Nyali

Pénioundou, Mabala),

des affleurements sur la piste Dikoutou-Massoti-Mabala.



Mont christal

Littoral

Altogoveene

ogouee et lac


Foretstieresd


La diversité des cultures que l’on trouve au Gabon donne lieu à une riche mosaïque de traditions.

Le Gabon expérimente une diversité culturelle distincte et cela plus que les autres pays d'Afrique. Notre 1500 million d’habitants reflètent la différence culturelle, ethnique et linguistique.

La diversité culturelle a tête un caractéristique fondamentale depuis au Gabon. Aux temps des établissements des anglais, espagnols, hollandais, portugais et finlandais il y avait plus de 30 groupes ethniques.

La bonne exploitation de notre diversité est un atout et non une faiblesse , les exemples comme Toronto, New York, London et Vancouver le montrent. la diversité culturelle est une source de créativité et d’innovation, en plus d’être un agent de cohésion sociale et de développement économique.


R
éligieuse la diversité s’exprime par les différentes dominations qu’on peut regrouper en trois Catholique, protestant, pentecôtiste , Musulmans, syncrétiques, traditionnelle

Jour de l'An (New Year's Day, 1 January),

Fête du Travail (Labor Day, 1 May),

Fête National (Independence Day, 17 August) and major Christian holy days such as Pâques (Easter), Pentecôte (Pentecost), Toussaint (All Saints’ Day, 1 November), and Noël (Christmas Day, 25 December). The Islamic holy days of Fin du Ramadan, a feast that ends the month-long fast of Ramadan, and Fête de Mouton, a feast to honor Abraham’s willingness to sacrifice his son, are observed according to their dates on the lunar calendar.

Les mariages inter-ethniques

les premiers protestants américains et colons français s’établissaient une partie des gens parlais anglais et francais

Glass et Baraka Anglais

Les familles mixes

Beaucoupsd de familles sont d'ascenfndence ouest-africain, Europeens, au point qu'on trouve des messan, cocou, Ndyaye, Lamine, Diop,

comme des mariages inter-etniques.

il existe deux grandes zones la zone maritime et la zone forestière et de savane. La zone maritime comprend :

La région maritime est la région des grillades et poissons et crustacés de mers.

Estuaire: Vous mangerez aussi bien l'odika chez ompeghe, crustaches de l’antilope au pangolin au chocolat, en passant par le poulet Nyembwé ou Yassa,, brochettes de viandes
grillades de gambas, de langoustes ses différentes spécialités de poisson et de fruits de mer. Le petit petit chaut, le relais bleu ou Africains a la bassamoise ivoirienne, Daurade farcie, capitaine et merou braisees, boulette de thon, poulets

Libreville métropole multiculturelle:

La diversité des peuples entre les autocthones et les peuples venues après, les influences Allemandes, francises, américaine et portuguaise.

les restaurants Gabonais, Europeens , Africaines, asiatique

Le wonderfull, les quartiers marquent cette diversite
Waterman, Toulon, London, saint Germain, hambourg

La france est aussi bien represente avec le Deauville:

Baptisé Deauville en référence à une bonne table parisienne et à la ville du même nom, ce restaurant est indubitablement l’un des plus beaux de Libreville. Fait de rideaux en franges tombant du plafond, d’ingénieux luminaires et d’objets d’art savamment choisis et disposés, le décor y est féerique. Ce restaurant dispose d’un salon privé pouvant accueillir jusqu’à quatorze personnes que l’on peut toutefois occuper si l’on veut éviter les oreilles indiscrètes même si on est moins nombreux. Une tarification et un menu sont suggérés pour un repas excédant quinze couverts et la salle toute entière peut être affectée à un banquet d’entreprise. Le Deauville offre une restauration gastronomique à laquelle elle refuse de déroger, même pour des repas d’entreprise de cinquante couverts. La cuisine n’utilise que des produits frais ou importés de France avec le meilleur conditionnement. La cave est à la hauteur du positionnement haut de gamme de l’établissement. On y trouve aussi bien les vins les plus prestigieux que des cuvées aux tarifs accessibles, non moins bonnes.
Le Deauville : 73 76 13

Marquisat

L’Épicurien propose une
Publish Post
cuisine européenne inventive et raffinée, comme le Pot-au-Feu de la Mer, l’Aumonière de Gambas et Langoustes ou la Fricassée de Veau au Riesling.


Ogooue maritime: cette diversite culturelle embrasse francaise et gabonaise
gibier préparé à la “gabonaise”, succulents poissons en papillote, grillades de viandes..Poissons sur le grill, brochettes de gambas et de poulet que vous trouveriez a
Massena


Les terrines de campagne, foies gras, magrets fumés et gésiers confits “maison” font la réputation de cette table, où selon le maître des lieux on goûte à “une cuisine que l’on ne mange pas ailleurs”… en tout cas pas à Port-Gentil. La carte des vins est riche en rouges qui accompagnent viandes et charcuteries, avec quelques blancs pour souligner la fameuse croustade de moules. Deux à trois fois par an, le Flibustier rassemble les copains autour d’un pot-au-feu géant ou pour déguster un couscous ou encore une paëlla.

Les terrines de campagne, foies gras, magrets fumés et gésiers confits “maison” font la réputation de cette table, où selon le maître des lieux on goûte à “une cuisine que l’on ne mange pas ailleurs”… en tout cas pas à Port-Gentil. La carte des vins est riche en rouges qui accompagnent viandes et charcuteries, avec quelques blancs pour souligner la fameuse croustade de moules. Deux à trois fois par an, le Flibustier rassemble les copains autour d’un pot-au-feu géant ou pour déguster un couscous ou encore une paëlla Flibustier

Nyanga

Sette Cana

Mayoumba

Vous trouverez toute sortes de poissons de mer : tarpon, carpe rouge, carangue, barracuda, capitaine, otolithe, raies, requin, dardes, morrue etc...... toutes les techniques.

Le tarpon : à tout seigneur, tout honneur...


La region des sauces et legumes



Ou trouver le meilleur Cochon
Jacky Cochon, c’est sans conteste sa charcuterie artisanale : jambon braisé, saucisses, boudin, pâtés ou rillettes, tout est fabriqué sur place. Le “petit cochon”, une planche de charcuteries assorties, est particulièrement appréciée des habitués, accompagnée de vins du pays. La cuisine proposée à la carte est copieuse, du cassoulet périgourdin aux grillades de viandes tendres et fondantes.
Le sakura
Le nom de ce restaurant renvoie à la fleur de cerisier qui annonce le printemps. C’est l’un des symboles du Japon mais aussi du renouveau. Nouvellement ouvert, Sakura est actuellement le seul restaurant, à Libreville, offrant de la pure gastronomie japonaise : Maki, Sushi, Sashimi, Yakitori, etc. Mais aussi une large palette de mets cuits réalisés par un maître Sushi venu spécialement de Thaïlande mais formé dans une école de gastronomie au Japon.

Les six autres provinces

Nord

Sud Ouest

Sud Est

Centre

Nourriture et legumes

La nourriture le plus largement grandie est manioc (le manioc). Un repas typique peut consister en ou les bananes de banane plaintain (a bouilli et écrasé) ou bâton de manioc, une pâte de pâte-comme faite de manioc. Il est d'ordinaire servi avec la viande ou le poisson dans les secteurs urbains, et avec la viande fraîche parmi les villageois qui ont eu une chasse réussie. Les sardines importées ou petit poisson localement pris pourrait être mangé quand la viande est indisponible. Le menue principal est souvent préparé comme un ragoût dans l'arachide ou la sauce d'huile de palme me. Piment (les poivre chauds) sont fréquemment utilisé. Un légume de vert-feuille, la coupure dans les bandes et bouilli, est d'ordinaire servi. L'eau est la boisson la plus commune, mais la bière est aussi populaire.

Taro, les arachides, et le maïs poussent au Gabon. Le café, le cacaoyer, la canne à sucre, et l'huile de palmeest produit pour les buts commerciaux. Il y a beaucoup de types de fruit tropical : papayas, les bananes, les ananas, les mangues, les avocats, et atangas. Atangas est violet, le fruit amer de la taille d'une balle de golf qui est souvent bouilli jusqu'à ce que doux pour créer ce que certaines de la population d'immigrant, d'ordinaire des autres pays africains d'ouest, l'appel « le beurre de buisson ». Dans les secteurs éloignés, les gens chassent des animaux sauvages, comme les gazelles, les fourmiliers, les serpents, les crocodiles, et les sangliers, et grandir la nourriture pour se. Quelques insectes sont inclus dans le régime.
Dans les villages, le petit déjeuner peut consister en en trop du jour avant, mais les adultes pourraient avoir aussi du pain et le café ou le chocolat chaud. Dans les secteurs urbains déjeune peut consister en quelque combinaison de pain, les croissants, le beurre, la confiture d'oranges, les oeufs, le yogourt, et le café. Les adultes travaillent d'ordinaire autour de l'heure du déjeuner, tant juste snack sur le fruit pendant le jour. Les enfants retournant de l'école mange un repas léger ou en trop, mais pour la plupart du repas principal est dans le soir (d'ordinaire après 7 DU SOIR) quand le travail est fini. Les gens mangent souvent avec le droite ou une cuillère. Dans les secteurs ruraux, hommes gabonais et les plus vieux garçons mange d'ordinaire dans les quarts vivants, pendant que les femmes et les jeunes enfants mangent près du feu de cuisine. Le père a souvent son propre bol. Les petites familles pourraient manger ensemble dans la cuisine, avec les adultes partageant un bol et les enfants partageant un autre. Les invités sont donnés un bol séparé.

ragout au sanglier,court bouillon de carpe,feuilles de manioc,machoiron etouffes,
sgazelles, les fourmiliers, les serpents au chocolats, les crocodiles au chocolat ou court bouilon, et les sangliers, lantilope au pangolin au chocolat, carpes d'eau douces au cury, pot au feu de vieande fraichesfeuille de manioc, feuille de taro,




Religieuse la diversité s’exprime par les différentes dominations qu’on peut regrouper en trois Catholique, protestant, pentecôtiste , Musulmans, syncrétiques, traditionnelle


Fête mulsumane du moutons a libreville.

hopitalier et chalheureux, aristocrate

Nourriture la nourriture est le plus diverses , régionales et étrangers on retrouve a Libreville des restaurants Libanais, Asiatique :

Le Dragon d'Or : montée de Louis, sur la droite. Cuisine chinoise savoureuse. Service rapide. Plats à emporter.
L'Indochine : montée de Louis, sur la gauche. Ancien "Pavillon Céleste". Tél. 730013. Cuisine vietnamienne. Service attentionné. Bon rapport qualité-prix. Plats à emporter.
Le Jardin de Bambous : quartier Glass, avant le magasin Superglass. Terrasse couverte. Spécialités chinoises. Bon menu à 3 500FCFA à midi.
Le Saïgon : quartier Glass, boulevard de la République, sur la gauche, en direction d'Olourni. Tél. 72 98 42. Bonne cuisine vietnamienne. Plats à emporter.
Chez Wou : montée de Louis. Tél. 73 00 22. Cuisine vietnamienne et chinoise. Excellent buffet très varié tous les vendredis soirs. Réservez et arrivez tôt. Prix corrects. Plats à emporter.

Les Africaines Béninois, Togolais, Camerounais, Nigeria, Maliens et sénégalais, Guinéens, Nigériens etc…

la sauce de moyo beninoise, Poulet Yassa, riz-sauce, salades, sandwiches. Pas d'alcool. Excellente cuisine à petits prix. la sauce kédjenou ivoirienne, Poulet dans un noix de palme
Poulet Yassa Poulet d’arrachides es poulet DG djeboudjenne.Poulet de ndole, Nongondongo, bedoums, golgoth, plat Songhai mali, cocous au mouton maroc, eminnce de beoufs a la togolaise, liboke congolais.

libanias et marocain couscous, charwama.

saka saka congolais, tchickoung congolais.

Couturiers et petit marchands , artisans, la pierre de Bigou au masques sculptes.

et produits culturels du monde, tout en faisant connaître nos récits et entendre nos voix00La diversite culturelle et marque par les differents plats

Elle est aussi importante pour le bien-être et l’avenir de l’humanité que la biodiversité peut l’être pour la santé de la planète. par son ascendance aborigène, sa dualité linguistique et son caractère multiculturel.

La filière musicale au service de la diversité culturelle ..... Music Awards » l’an prochain, « sans doute au Gabon », avec Wycleef Jean pour ambassadeur.

Preservation des minorites culturelles des pygmes, evyia menacees e disparitions


Que doit faire le gouvernement

« Cela ne signifie pas pour autant que les différences ne suscitent aucune tension au Canada. Cependant, lorsque des différends surgissent, les Canadiens et les Canadiennes essaient de s’adapter et continuent d’entretenir des rapports entre eux en dépit de leurs divergences d’opinion. Avec l’expérience, nous avons appris que nos différences ne sont pas source de division. Cela encourage les citoyens et les citoyennes appelés à relever des défis communs à aller de l’avant et à revendiquer leur droit de participer pleinement à la société canadienne. Peu à peu, le concept de diversité du Canada s’élargit. La diversité va au-delà de la langue, de l’appartenance ethnique, de la race et de la religion pour englober des caractéristiques générales telles que le sexe, l’orientation sexuelle, les capacités physiques et intellectuelles et l’âge. Les démarches qui ont permis aux Canadiens et aux Canadiennes de grandir dans une société bilingue et multiculturelle aident maintenant à éliminer d’autres obstacles qui empêchent les individus de s’épanouir pleinement.”





source principale: le petit futé Gabon et Sao Tomé.





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rEGIONS  

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Un étrange week-end à Genève.  

Il est heureux marié, père de deux enfants qu’il aime pourtant… son pas flanchera pour une belle passion éphémère.

Il est haut fonctionnaire en poste à l’ambassade de son pays dans la belle vie de Paris.
Ce diplomate envoyé en mission un week-end à Genève a une aventure avec une très jolie femme.
L’histoire et très charnelle, rendant par moment la lecture très chaude.
Le récit est linéaire, convenu.
C’est une belle histoire à lire si l’on veut découvrir un auteur nouveau.
Il est prolixe, cet écrivain, qui vient de publier ‘Grand Ecart’ (roman qui vaut réellement le détour), aux Editions NDZE.
Il semble avoir beaucoup de chose à dire, à écrire.
Cela se ressent en le lisant
Et on ne peut qu’encourager la plume venue d’un pays, le Gabon, où la littérature est naissante et peu visible sur l’échelle internationale, mais belle digne d’intérêt, foisonnante d’images, d’humour, de réalisme.
Imani

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Et si les crocodiles pleuraient pour de vrai...De ludovic Obiang  

Les amours jeunes laissent des traces, surprenantes...

Comment vivre la nostalgie d'une époque que l’on n’a pas connue ?
En lisant ce recueil de nouvelles de Ludovic Obiang.

Avec brio, l'auteur nous compte cette époque de son adolescence, les amours naissances autour du calme d'une rivière aujourd'hui mourante.

Ce recueil au titre intriguant, renferme 8 nouvelles. De véritables perles qui prouvent le talent de cet écrivain gabonais.

On y parle adolescence, d'intrigues amoureuses avec ces rencontres nocturnes, de vies brisées, de secrets bien gardés. Il y a la forme qui rend tout cela tellement poétique, que l'on s'interroge en lisant et on en parle encore après avoir refermer ce livre.


Je ne regrette pas de m'y être arrêtée. C'est pour moi un petit chef d'oeuvre de musicalité et de poétique.

Imani

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BEST Librairies  

Le Centre Culturel Français Saint-Exupéry :
boulevard Triomphal El Hadj Omar Bongo. Tél. 76 11 20.


COMETE
Galerie de M'Bolo B.P. 6794 Libreville
Tél. : 72 64 35 - Fax : 72 44 01
Librairie - Presse - Papeterie - Tabac

GABON MECA A côté Chambre de Commerce B.P. 577 Libreville
Tél. : 76 04 90 - Fax : 74 20 39 - 76 87 52
Email: gmeca@gabonmeca.com

GRANDE LIBRAIRIE DU KOMO Centre ville, face Eurafrique Voyages B.P. 7070 Libreville

Librairie - papeterie jouet, ouvert du lundi au vendredi de 8h à 12h30 et de 15h à 19h.

LIBRAIRIE ATLANTIQUE Hôtel Atlantique Libreville
Tél. : 73 24 46 / 48 / 50

LA MAISON DE LA PRESSE Face au Re-Ndama B.P. 7070 Angondje
Tél. : 77 26 95 - 72 21 31 - Fax : 74 23 89
Toute la presse, les derniers Best-Sellers, les livres rares. Toutes les Editions de poche, livres scolaires et para-scolaires tous niveaux. Carterie. Papeterie de bureau et scolaire. Cadeaux. Du Lundi au Samedi de 8 h à 12 h et de 15 h à 19 h

LIBRAIRIE LAICO LIBREVILLE hôtel Laico Angondje
Tél. : 73 21 85


Fondation Raponda-Walker
B.P. 7969
LIBREVILLE (Gabon)



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Et si Dieu me demande, dites-lui que je dors  

Chasse à la mémoire

Rosie Parks (demandant à ne pas être confondue avec Rosa Parks) reçoit une jolie lettre d'invitation de la part de Edmond VII, qui se dit éditeur camerounais et descendant de Louis XIV. Il l'invite à venir au Cameroun, avec d'autres femmes romancières, tous frais payés, en échange d'un texte qu'elle doit écrire sur la femme qu'elle aurait rêvé d'être. Rien de bien compliqué en quelque sorte, sauf que des souvenirs et des rêves, Rosie n'en a plus beaucoup, mais qu'à cela ne tienne, l'offre est alléchante.
Rosie débarque donc à Yaoundé, dans un bel hôtel où elle ne tarde pas à tester divers caprices et à se livrer aux observations les plus folles de ses contemporains.
Sur place, Rosie fait la connaissance d'Angélique, dont la bouche égrène le mot azur au fil des jours, et de Mona Lisa, femme étrange et envoûtante. Edmond VII supervise ce harem littéraire. L'aventure commence, bizarre, rocambolesque par moments, souvent tendre et douloureuse à la fois.

Bessora, romancière de père gabonais et de mère suisse, a choisi un bien joli titre pour ce roman écrit avec pas mal d'humour, d'ironie et un rythme vif, qui illustre bien les tourments et les remous qui agitent l'esprit de Rosie Parks. petit à petit, au gré des rencontres, celle-ci se replonge dans son passé d'amnésique et à l'aide de scientifiques plutôt dingos et d'expériences farfelues, elle met le doigt sur ce qui a emprisonné sa mémoire pendant aussi longtemps. Avec entre les coups, des échanges emportés, des regards acérés portés sur le pays ou sur la société, des réflexions intéressantes sur l'écriture et la littérature et énormément de sensibilité qui déborde à chaque instant.
Par moments, j'ai ressenti de la fébrilité dans ce récit, comme si la plume de l'auteur voulait à tout prix coucher sur papier un maximum d'idées, comme si elle avait bien trop de choses à dire et qu'elle craignait de les oublier. Cela donne au tout un aspect parfois décousu, mais d'un autre côté, ça colle au personnage amnésique central du roman, une femme tantôt touchante tantôt très agaçante par sa condescendance.
Un roman à découvrir, certainement, tout en veillant à reprendre de temps en temps sa respiration sous peine de voir ce rythme quelque peu trépidant lasser avant l'heure, ce qui serait dommage.


critiqué par Sahkti le 30 janvier 2008


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Broadway Librevillois  

Dans cet article, notre préoccupation est de trouver des internautes capables de nous dire quelles sont les troupes de théâtres connues au Gabon et dans quels types de representations se lancent-elles.

Théâtre de l'utopie: société

Théâtre express

Théâtre de la rencontre

Théâtre national

Nzimba théâtre

Théâtre de l'ailleurs ( Icad)

Théâtre du département d'Anglais de l'université Omar Bongo


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Pourquoi Libreville fait rêver?  

Quand on parle de Libreville on voit la plage, la gastronomie. Libreville la capitale du luxe et du magnifique …. Le poisson et les fruits de mer sont bien entendu rois. Le bossu, un poisson à la chair généreuse est succulent. Libreville est un véritable melting-pot de peuples.

Libreville est un gros village bourgeois et conservateur, où tout le monde se connaît.

De plus Libreville est l’une des villes africaines les plus visitées par les stars américaines en tournées sur le continent. Ce qui fait de Libreville la capitale du Hip Hop africain.

Le quartier Louis concentre le nec plus ultra de la nuit librevilloise. Car à Libreville, on est peut-être en France, mais on rêve d’Amérique.

Les restaurants sont des endroits très exotiques aux décors de rêves! Libreville est le sanctuaire des gourmands et gourmandes. Les bons et beaux restaurants ne
manquent pas chacun dans un décor typique et surprenant.

Libreville fait rêver par ses galeries arts , ses restaurants romantiques : La Dolce Vita, Le Pescadou : L'Antre de Bacchus et son front de mer. Au quartier Port Môle vous trouverez le marché de poissons frais : la Fraicheur est au rendez-vous.

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Où faire le shopping a Libreville ?  

Les supermarchés : Mbolo sur le boulevard Triomphal, Score au centre ville, Superglass à Glass, Libremarché à Lalala, l'Oasis à Louis. Mbolo on peut trouver des petites choses venant de France dans le style de ce qui est vendu dans les supermarché comme champion , auchan ou Monoprix en France.

Viande locale : Sogadel au Port-Môle (bœuf) et boucherie lkasa en face la gendarmerie de Gros-Bouquet (porc).

Les libres-services: des grandes surfaces, dans le style Hard-Discount avec des prix plus intéressants. Supergros, boulevard Bessieux, Prix-Import, dans la rue d'Agro-Gabon, Centr' Affaires alimentaire au feu rouge de Nombakélé.

Les surgelés : la SAN et Findelou au Port-Môle, Camigab et Socopec dans la zone industrielle d'Olourni.

Les légumes frais : il faut bien regarder ce que l'on achète... Souvent, ils ont "voyagé" et ne sont plus de première fraîcheur. Dans le centre-ville, des petits revendeurs "promènent" des légumes dans des brouettes ou des carrioles, le paquet est à 1000FCFA. Des marchandes vendent fruits et légumes à l'étal, à la montée de Louis, devant la boulangerie de l'Estuaire à Glass, face à l'esplanade de Mbolo et partout dans la ville. Vendus au "tas" ou au poids. Agripog, à Glass, me face à la Taverne de Nyonié, magasin de la société productrice de fruits, légumes et fleurs à Port-Gentil.

Le poisson : délicieux et bon marché, il est vendu dans tous ses états : frais, salé, fumé, séché... On le trouve partout dans la ville, à la sauvette, sur les marchés et notamment au pont Nomba, sur la Lowé, à la ferme d'Okala (capitaine famé). Poissonneries : Promo Pêche dans la rue de la Mairie, Socopec montée de Louis et au Port Môle.

Et pour tout ce qui ne se mange pas : CK2, l'un des plus grands magasins de la ville, près du boulevard de l'indépendance. Vaisselle, linge de maison, luminaires, quincaillerie, droguerie, outillage, sport, électro-ménager... Electra, rue du Marquis de Compiègne, près du centre artisanal. Mobilier, électro-ménager, matériel de bureau... Deux pépinières tropicales à Louis, La Jardinerie de Jardigab et La petite Sardinerie.

Les marchés : ils sont installés dans tous les quartiers de la ville, on y trouve tout ce que l'on cherche : bassines, perruques, chaussures, fripes, vêtements neufs et layette, lingerie, tissus et mercerie, cosmétiques et parfumerie, épiées, alimentation, viandes et gibiers, poissons, fruits et légumes... Mont-Bouet , Nkembo, Lalala, Okala,Akébé...

le GÉANT CKdo ,

Maison de couture de Madame Akombo Victorine une ex hôtesse de l'air air Gabon.

Galérie marchande face de Mbollo, vêtements, objets de décorations.

City sport dans Mbollo vêtements de sports.

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Manger moins cher à Libreville  

Bambou Bar : quartier Glass, rue de Michèle Marine, derrière le bar 5/5. Fermé le dimanche. Poulet au nyembwé, paquet de concombre, feuilles de manioc, grillades... Bonne ambiance.
Les Bédoumeuses
: vendeuses de beignets à 10FrrA pièce et de brochettes à 200FCFA. Partout dans la ville, à partir de 16h.
Bar Ossiano : entre le carrefour Léon Mba et le boulevard Bessieux. Pour 900FCFA, on mange des plats africains à volonté. Style cafétéria, on choisit parmi plusieurs plats cuisinés manioc, plantain, foufou, poulet aux arachides, nyembwé, sauce gombo... C'est simple et bon.
Le Petit Creux : dans la station Elf après le Tropicana en venant de l'aéroport. Sur le parking de la station. Langoustes, pizzas, boudins antillais... Le mieux, c'est de commander et d'emporter.
Restaurant Sénégalais : quartier Nombakélé, en face de Gaboprix. Poulet Yassa, riz-sauce, salades, sandwiches. Pas d'alcool. Excellente cuisine à petits prix. Un peu plus chic (à partir de 6 OOFCFA)
Le Baobab : quartier Louis, entre le marché et le feu rouge Gros-Bouquet. Tél. 73 89 93. Salle climatisée et terrasse. Savoureuse cuisine du Sénégal et des îles : langoustes grillées, tiéboudienne, poulet Yassa, poisson à la tahitienne...
Le bon coin de Louis, chez Ali : quartier Louis, entre le marché de Louis et le feu rouge Gros-Bouquet. Tél. 73 1374. Spécialités africaines et cuisine européenne.
Corisco Chica, chez Katia : quartier Nombakélé, direction Akébé, après la station prendre la route à droite, face au stade. Terrasse. Carte très variée et délicieuse : couteaux de mer, poulet nyembwé, crevettes aux feuilles de manioc, pain de concombre, gibier, poisson.. .Plats à emporter.
Le Débarcadère : en venant de l'aéroport par la voie rapide, au carrefour des Charbonnages, prendre 2 fois à gauche. Itinéraire fléché.
Repérer le panneau "risque de verglas" ! Tél. 752838. Terrasse couverte et jardin aux abords de la mangrove de la Tsini. Bonne cuisine : poisson braisé, crabe farci, langouste grillée ...Y aller de préférence le soir, les racines de palétuviers éclairées créent un univers insolite. Curiosité : il n'y a pas de moustiques ! Location de pirogue à partir du restaurant pour excursions dans la baie de la Mondah (voir Va' Gabondage page 76). 2 chambres climatisées, 15 000FCFA la nuit.

La Kafaite : carrefour Baraka. Restaurant africain et européen. Prix
corrects, chambres très simples à louer pour un prix modique.
Chez Marcelline : après le carrefour d'Akébé Ville, sur la gauche en venant de Nombakélé. Tél. 74 20 49. Grande terrasse couverte peu ventilée et animée. Le poisson à la braise façon Marcelline est inoubliable.
Ambiance africaine garantie.
Chez Marie-qui-faü-chaud : quartier Glass, face à la Maison de la Presse. Terrasse. Cuisine africaine et européenne. Marie sait accueillir ses
clients avec une grande convivialité.
Le New Palmas : Montagne Sainte, rue Alsace-Lorraine. Petit restaurant
africain sympathique, c'est une bonne adresse.
Papa Union : c'est en général le premier endroit où l'on vous emmè
ne à votre arrivée. A goûter absolument : les langoustes, les gambas, le couscous du vendredi... L'entrée est comprise dans le prix du plat. C'est bon, pas cher, on y retrouve le tout Libreville... 3 restaurants : montée de Louis, décor en bambou et odeur de friture en sus, tél. 73 86 80. A l'ancien hôtel Dialogue, au bord de la piscine, c'est plus aéré mais moins typique. Face à la Gendarmerie de Gros-Bouquet, le premier restaurant entièrement rénové. Tél. 73 06 57.
Le Pili-Pili, chez tontine Charlotte : quartier Louis, descente de la
Maringa, en haut de la rue. Excellentes spécialités zaïroises. Bonne ambiance en musique du jeudi au dimanche. Ouvert tous les soirs.

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Vos loisirs  

Le Centre Culturel Français Saint-Exupéry : boulevard Triomphal El Hadj Omar Bongo. Tél. 76 11 20. Lieu essentiel de la culture francophone au Gabon, il s'attache aussi à la promotion des cultures africaines (danse, théâtre, musique, cinéma, expositions d'art contemporain, conférences, présentations d'œuvres littéraires, éditions et rééditions d'ouvrages...). Un amphithéâtre de 400 places bien équipé reçoit ces manifestations. Tous les ans, le Salon d'Octobre est une manifestation remarquée et attendue par les plasticiens et les amateurs d'art. Le Fonds d'Art Contemporain du Gabon, créé en 1991 sous l'égide du Ministère de la Culture et des Arts gabonais, de la société Shell et du CCF a permis la constitution d'une collection de peintures et de sculptures. Les œuvres sont présentées sur place et à l'étranger en expositions itinérantes. La bibliothèque est l'un des points forts du Centre Culturel. Elle accueille un public très nombreux, adultes, enfants, chercheurs et étudiants, selon le mode classique des salles de prêt et de consultation. Le fonds Gabon est particulièrement riche en documents anciens. L'inventaire compte 3 000 références, livres, magazines, philatélie, cartes... Ces documents peuvent être consultés sur place, sous certaines conditions. Le mois de décembre est "Le Temps des Livres", plusieurs manifestations liées à la littérature et aux écrivains sont programmées : expositions, films, dédicaces, "troc aux bouquins"... Le CCF n'est pas insensible à l'environnement, l'association "Les Amis du Pangolin" qui édite le journal "Le Cri du Pangolin", est abritée dans ses locaux. Tout autour de l'édifice, un jardin botanique permet la découverte de la flore gabonaise.
Cinéma Le Komo : avenue Félix Eboué. Tél. 72 02 21. Balcon et orchestre. D'autres salles existent dans les quartiers de la ville. Le sport est présent dans la vie gabonaise et notamment à Libreville. Dans chaque quartier, on trouve salles de sports et associations sportives. Foot-bail, hand-ball, volley, rugby, etc. se pratiquent dans les stades de la cité ou dans les lycées. Les sports de combat, danse et gymnastique sont au premier plan. Les grands hôtels proposent aussi plusieurs activités. Nous citons ici quelques clubs, à vous de découvrir d'autres adresses.
A2L : club d'ULM, Owendo, entre le lycée technique Omar Bongo et la base Rougier. Baptêmes en 3 axes ou pendulaires. Possibilité de passer les brevets de pilote. Gabon Aéro Diffusion, tél. 75 92 42/76 45 61, société de location d'ULM et de pilotage.
L'Aéro-Club : tél. 73 28 11. Après l'aéroport, sur la route du Cap Estérias. Il propose des formations pour passer les brevets théoriques et pratiques de pilote privé sur Cessna 152 et 182. Brevets gabonais et français. Les appareils sont loués aux membres du club. Baptêmes de l'air.
Le restaurant : ouvert tous les jours à midi. Tél. 73 57 77. Plats à la carte à partir de 5 500FCFA, menu malgache le samedi à 7 SOOFCFA, couscous le vendredi à 6 500FCFA
Le Golf Club de Libreville : quartier Mindoubé. Prendre la voie rapide en direction d'Owendo, tourner à gauche au carrefour I.A.I. puis première piste à droite. Tél. 76 03 78. 18 trous. Nombreuses compétitions sponsorisées et conviviales. Parcours technique, plans d'eau et reliefs.
Le Club House : bar-restaurant ouvert tous les midis sauf le lundi. Carte variée à des prix très intéressants, à partir de 3 800FCFA le plat.
Le Mindoubé Club : tél. 76 62 77. Quartier Mindoubé. A côté du Golf Club. Installé .sur 17 ha, le club propose des activités équestres (moniteur agréé par la Fédération Française d'Equitation), tennis, piscine, pétanque, gymnastique, tarot... Ambiance très familiale, cadre agréable.
Le restaurant : ouvert tous les jours à midi sauf le lundi et le soir en fin de semaine. Menu à 7 000FCFA, carte, snack.
Le Club Saoti : quartier Hauts de Gué-Gué. Tél. 73 03 95. Squash, tennis, ping-pong, volley-ball, basket-bail, arts martiaux, danse, natation et activités nautiques. Haut lieu du tennis au Gabon, nombreux courts.
Le restaurant : "La coccinelle d'Or". Tél. 736481. Restaurant-snack en terrasse aux abords de la piscine et des courts de tennis dans un cadre agréable. Carte à partir de 4 500""* le plat.

Le point kilométrique zéro du Gabon est situé au carrefour Bessieux. Il détermine les PK, points kilométriques, si utiles pour se guider dans la ville et ses environs.

Quartiers Louis et Quaben
Le village du roi Louis Dowé, neveu du roi Quaben, était établi entre la rivière Anwondo (à côté de la Fondation Jeanne Ebori) et la rue de la discothèque "La Maringa". Le roi Louis appartenait à l'un des clans les plus importants des Mpongwè, qui englobait les villages de Louis, Quaben, Kringer et Orety. Francophile comme le roi Denis, il contribua à l'établissement des Français sur ses terres en concluant le 18 mars 1842 un traité avec le Commandant Bouët-Willaumez.
Louis et Quaben sont des lieux agréables et verdoyants, formés d'un entrelacs de rues où il fait bon se promener. Très animés, ce sont les quartiers des commerçants, des restaurants, des discothèques, des artistes et de la vie culturelle. Le roi Dowé repose au début de la montée de Louis sur la droite. Au bord de mer, entre La Maringa et L'Antre de Bacchus, on aperçoit en hauteur, la croix qui signale la tombe du roi Quaben.
Monseigneur AndréRaponda-Walker : le buste de l'évêque est érigé au carrefour de la rue Pierre Barro, près de la concession familiale. De l'autre côté de la rue, sa tombe est dans un enclos.
Batterie IV : ce quartier appartenait au village de Louis, tout comme celui de Gros-Bouquet. Trois canons datant de la seconde guerre mondiale sont encore visibles dans les jardins de la résidence de l'Ambassade de France. Batterie IV a été le premier quartier résidentiel de la ville, avant les Hauts de Gué-Gué.
Quartier de la cathédrale Sainte-Marie
L'ancien Fort d'Aumale, construit par la marine française en 1843, était situé à l'emplacement de la cathédrale Saint-Marie.
Mission Sainte-Marie : siège de l'archidiocèse, elle possède des bâtiments anciens et deux lieux de culte. Bénie le 5 août 1864 par Mgr Bessieux, la première église porte alors le nom de Notre-Dame-des-Neiges. Sa nef voûtée en berceau de bois peint est précédée d'un porche à quatre colonnes, surmonté d'un clocher. Les peintures murales représentent les saints du Paradis. Le clocher formé de quatre grandes vergues de paquebot, servait de repère aux navires par sa grandeur et sa couleur rouille. Devant l'église, reposent les évêques du Gabon, Messeigneurs Bessieux, Le Berre, Martrou et Ndong. La nouvelle cathédrale Sainte-Marie fut édifiée en 1958 par Mgr Adam, qui prit soin de ne pas détruire l'église primitive. Située sur le promontoire, devant Notre-Dame-des-Neiges, elle domine la rade du Port-Môle. Bâtie dans le style des édifices des années soixante, elle possède de beaux vitraux colorés.
Le port Môle : créé en 1952, il y règne une animation intense liée au trafic de la Marine Marchande et au commerce. C'est le point de départ des navettes vers Ekwata et la Pointe-Denis.
Le boulevard Triomphal El Hadj Omar Bongo : les édifices qui le bordent sont le fleuron de l'architecture contemporaine librevilloise : le Centre Culturel Français Saint-Exupéry, le siège de la Banque des Etats de l'Afrique Centrale (BEAC), l'immeuble du 2 décembre dit immeuble du Pétrole, l'Hôtel de Ville, les ambassades de Chine et de Russie. La Cité de la Démocratie est l'aboutissement de cette enfilade architecturale.
Le Centre Culturel Français Saint-Exupéry : conçu par l'architecte François Lombard, il fut inauguré officiellement le 12 mai 1994. Ce grand édifice couronné d'une large vague de bois rouge, joue avec les lignes et les matériaux. Les jardins abritent un arboretum où s'exprime la biodiversité gabonaise. On peut le visiter.
Le siège de la BEAC : par sa simplicité de lignes, l'édifice s'élève telle une sculpture aux formes sobres et élégantes.
L'immeuble du 2 décembre : créé par l'architecte Paul-Emile Simon, il a été inauguré le 2 décembre 1987, pour le vingtième anniversaire de l'arrivée au pouvoir du président El Hadj Omar Bongo. Ce magnifique ensemble de 28 000 irf est composé de trois volumes. La tour d'une douzaine de niveaux abrite le cabinet du Ministre des Mines et des Hydrocarbures et celui des Affaires Etrangères. La couronne qui l'enserre
compose le second volume. Elevée sur sept niveaux, elle est dominée par une coupole renversée qui abrite une cafétéria ouverte au public. Le troisième volume est un petit bâtiment de cinq niveaux situé en retrait, sur l'avenue Jean-Paul II. Son fronton en mosaïque représente une torchère brûlante, sur un carton original de Martine Nzé, artiste gabonaise. Cet édifice devait à l'origine abriter la société de distribution de pétrole, Pétrogab. Il est actuellement occupé par la Primature.
Trois idées forces ont été le fil conducteur du projet architectural : donner l'impression que l'immeuble est propulsé vers le ciel, donner vie à l'édifice par des espaces de communication, faire participer les artistes à la création de l'immeuble.
La Cité de la Démocratie : autrefois appelée Cité du 12 Mars, elle fut construite en 1977 pour recevoir les hôtes prestigieux de l'Organisation de l'Unité Africaine (OUA). Erigée sur l'une des collines, la cité comprend 45 villas et un ensemble de bâtiments imposants : le palais des conférences pouvant accueillir 3 000 personnes, le palais des spectacles, le palais des banquets, le palais de marbre (résidence présidentielle).
Quartier du Plateau, centre ville Dès 1850, les Français y transportèrent les bâtiments de la Marine, lorsque le Fort d'Aumale fut abandonné. Il s'étend le long du boulevard de l'Indépendance en bord de mer, de la rivière Anwondo à celle de Mbatavéa. Sa limite Est se situe aux environs de l'avenue Félix Eboué. Quartier de la Présidence et des principaux Ministères, c'est le cœur de la cité avec ses boutiques et ses commerces de luxe où il fait bon flâner. Des bâtiments gardent le nom d'anciennes maisons de commerce, comme la galerie Hollande.
Le Palais Présidentiel : il a été édifié en 1977 à l'emplacement de l'ancien palais du gouverneur français, occupé à partir de l'Indépendance par le premier Président du Gabon, Léon Mba. L'ancienne Mairie se situait à proximité, dans la rue où est installé le Consulat Français.
La Jetée, appelée aussi Le Warf: face au Palais Présidentiel, il ne reste aujourd'hui que deux pontons visibles du bord de mer. Autrefois, Libreville n'ayant pas de port, les bateaux mouillaient au large et des embarcations faisaient la navette.
L'Immeuble Elf Gabon : boulevard de l'Indépendance, en bord de mer. Il se remarque par son architecture contemporaine, en forme de vague.
Musée national des Arts et Traditions : au rez de jardin de l'immeuble Elf Gabon. Tél. 76 14 56. Du lundi au vendredi, 8h-12h et 15h-17h. Inauguré en 1967, le musée expose masques, marionnettes rituelles du Bwiti, tsogho, figures de reliquaire appartenant aux ethnies fang, kota, mahongwé, sango, obamba, punu, ambété, téké, aduma, vuvi, galoa... L'artisanat traditionnel et le savoir-faire des Gabonais sont représentés : travail du fer, vannerie, tissage, poterie. On y voit soufflet de forge à décor anthropomorphe, bracelets fang et obamba, colliers décorés au repoussé, arbalètes de chasse fang finement ciselées, corbeilles à ignames en vannerie. On peut y découvrir aussi un certain nombre d'instruments de musique et objets régaliens : mvet, cithare Ngombi, sanza, tambour à fente, grelots, balafon, bâton de chef, tabourets en bois monoxyles, colliers de chef téké, couteaux de jet, pipes, coiffures. La mezzanine est occupée par la reconstitution d'un Mbandja, corps de garde du Bwiti des Tsogho. On remarque les supports verticaux sculptés de figures anthropomorphes mâles et femelles polychromes, une cithare Ngombi et trois bûches de bois posés en Y renversé sur le sol de terre battue, servant au Nganga qui officie. La visite du musée permet une approche rapide du patrimoine culturel et artistique du pays. On regrette cependant la présentation quelque peu poussiéreuse des œuvres qui ne crée pas une ambiance propice à leur mise en valeur et à leur juste appréciation.
Quartier de Mont-Bouët .Nom donné à la colline en souvenir du Commandant Bouët-Willaumez. C'est le quartier le plus populaire de Libreville, incontournable pour connaître la vie africaine cosmopolite. Il est prudent de prendre quelques précautions avant de s'y rendre : éviter les bijoux, les sacs et les tenues provocantes, prévoir de la monnaie.
Le carrefour Léon Mba : la maison du premier Président, reconnaissable à sa façade rosé et à ses grilles en fer forgé, est située à l'angle de ce carrefour très animé.
Le marché de Mont-Bouët : ville dans la ville, particulièrement encombré par la circulation, les nombreux marchands à la sauvette et les passants, Mont-Bouët est le quartier le plus pittoresque et attrayant de la cité. Dans ce royaume du négoce, boutiques tenues par les Libanais et étals africains se côtoient dans les avenues centrales et dans le dédale de ruelles qui forment le marché. On y trouve de tout : sous-vêtements, perruques, chaussures, cosmétiques à l'étage du marché couvert, vêtements, tissus, fripes, vaisselle dans les boutiques au bord des rues et dans les passages, alimentation un peu partout. Les prix sont beaucoup plus intéressants qu'ailleurs, surtout pour les chaussures, les vêtements d'enfants et le linge de maison.
Petit Paris : dans la continuité de Mont-Bouët, Petit Paris est le coin des marchands de tissus et des merceries.
Les Jardins de La Peyrie : ce lieu a connu par le passé des heures de gloire. C'était, à l'époque, le centre des spectacles et des loisirs de Libreville. Ses jardins étaient réputés pour leur charme bucolique. Les locaux et les jardins sont aujourd'hui en cours de rénovation, certaines troupes théâtrales gabonaises y organisent leurs répétitions.
La gare routière : située au carrefour du boulevard Mgr Bessieux et du boulevard Léon Kalfa. C'est le lieu de départ et d'arrivée de tous les taxis, bus, taxis brousse... Evidemment c'est très animé de jour comme de nuit. Il y règne une certaine tension et de l'insécurité. Il est préférable de ne pas y aller dès la tombée de la nuit.

Quartier de Nkembo
L'église Saint-Michel de Nkembo
: à gauche au carrefour S.T.F.O. (après la gare routière). L'église, large, massive et ouverte sur ce quartier animé, est le plus bel exemple de l'art religieux gabonais. Les piliers sculptés qui l'ont rendue célèbre ornent son porche et trois de ses côtés. La porte, d'un beau bois dur finement travaillé, le kévazingo, est ajourée comme une dentelle. Son trumeau représente Saint Michel terrassant le dragon. Au dessus de l'entrée, on voit la frise des visages des ancêtres.
Cette église a été rêvée, pensée, conçue par le Père Morel qui a trouvé les artistes qui ont su, par leur talent et leur personnalité, magnifier le projet : Zéphyrin Lendogno pour les piliers, les frises au-dessus des portes et l'autel de la chapelle du Saint-Sacrement, Juan Ndong pour l'autel principal, le Christ en croix, le pupitre, les statues de la Vierge et de Saint : Michel, André Peukououko pour le chemin de croix et les balafons. Les sculptures des piliers retiennent l'attention. Un guide édité par la paroisse Saint-michel permet d'en suivre l'iconographie. Sur la double rangée des 13 colonnes du porche, les épisodes de l'ancien testament sont représentes. Viennent ensuite, sur les 18 piliers bordant le côté gauche de l'édifice, les scènes du nouveau testament. Après avoir réalisé la chapelle de Bikélé sur la route de Kango, l'art de Lendogno trouve ici sa pleine l maturité. On y admire toute la sûreté de la main de l'artiste et sa parfai1 te maîtrise de la composition. Des frises de mosaïque cément certains Î tableaux, offrant ainsi des temps de respiration dans la figuration ; d'autres sujets au contraire, comme la résurrection des morts, s'organisent sur toute la hauteur du support. On a pu comparer le style de Len; dogno à l'art des sculpteurs romans, dans leur simplicité de lignes, leurs formes amples et massives, leur dimension cosmique. Mais rien ne nous fait oublier que Lendogno, sculpteur gabonais, est africain avant tout et c'est ce qui fait sa force. Les personnages vivent en parfaite harmonie avec la nature très souvent présente, les épisodes, même dramatiques, sont traités avec une grande humanité, les scènes typiques de fêtes ponctuent le ! récit que l'on peut relier à la tradition orale africaine. Les sculptures réalisées par Lendogno ne seraient pas ce qu'elle sont sans la direction spirituelle du père Morel. L'harmonie de cette collaboration, qui donne à l'oeuvre toute son universalité, se lit sur cette bible en image. L'intérieur de l'église est très vaste et peut accueillir 1000 personnes assises. Les murs en claustra confèrent au lieu fraîcheur et pénombre agréables. Les fonds baptismaux octogonaux sont en mosaïque colorée. L'office du dimanche est un moment d'exception. La paroisse s'emplit de fidèles et de chorales portant l'habit aux couleurs de leur association. Rythmée par les chants, la musique des instruments à percussions et le mouvement syncopé de la foule, la messe est à la fois solennelle et chargée de passions.
Quartier Glass
La rivière Mbatavéa est la frontière entre le Plateau et Glass. C'est le domaine du roi Ndama, appelé Glass par les Anglais pour son penchant pour la boisson qu'ils savaient entretenir afin d'adoucir cet esprit rebelle. Il repose à proximité du pont Nomba sur la Lowé. * Le quartier Glass était nommé "village du milieu", car deux rivières l'enserraient, l'Ogombié, "la bonne chance", et la Tsinazizo, "on n'efface pas le sang". Après l'Ogombié, débute le quartier Lalala.
Architecture coloniale : dans les mes adjacentes à la boulangerie de l'Estuaire, deux maisons coloniales en mauvais état sont parmi les rares vestiges du passé. Construites en bois et pierre sur pilotis, avec un toit à l quatre pentes bordé d'une frise de bois ouvragée, ces habitations s'ouvrent à l'étage sur une galerie de circulation.
Mission Evangélique de Baraka : du boulevard de la République, prendre la me face à la boulangerie de l'Estuaire. Fondée en 1842 par des Révérends américains, cette mission protestante passa sous la tutelle de
la société évangélique de Paris en 1894. La première école du Gabon y vit le jour, on y enseigna longtemps l'anglais.
Quartier Lalala
Au début du siècle, ce quartier fut investi par les villageois de l'intérieur du pays d'origine Fang et Myéné. L'origine du nom provient certainement de son éloignement par rapport au centre ville : loin, loin, loin... Lalala forme une fourche et se divise en deux parties, Lalala Droite vers la route d'Owendo et Lalala Gauche. C'est un quartier d'artisans très animé où buvettes en terrasse et restaurants à bas prix foisonnent. Le marché, grouillant de monde et de victuailles, est au bord de la rivière Ogombié.
Quartier Nomba
C'est l'ancien village du roi Glass, il était bâti sur une butte en direction de la plage. Plus tard, il émigra à l'embouchure de la Lowé.
Le village de pêcheurs du pont Nomba : situé au sud de Libreville à quelque 7 km du centre ville, au bord de la Lowé, le village de pêcheurs du Pont Nomba vit au rythme des marées. Les habitants, en majorité nigérians et équato-guinéens, pratiquent la pêche, la salaison et le fumage du poisson que les femmes vendent ensuite à l'étalage. D'un côté du pont, le marché au poisson frais propose le meilleur poisson au meilleur prix. Les Librevillois le savent bien. A la sortie du travail, il est souvent difficile de se frayer un passage tant les clients sont nombreux ! Matin et soir, arrivent en provenance de l'océan les longues pirogues colorées, où de nombreux pêcheurs débarquent le fruit de leur labeur. Aussitôt les marchandes remplissent leurs bassines. Et dans un va-et-vient fiévreux, clients, vendeurs et mouettes évaluent la qualité du poisson, De l'autre coté du pont, le village avec ses fumoirs, ses bacs à salaison et son marché aux poissons : véritable avalanche de carangues, daurades, soles, rouges, capitaines, bars, carrelets, crevettes... Les poissons, de toutes tailles, brillants et mordorés sont entassés dans des sacs de jute, arrangés en couronne dans des bassines ou encore empilés à l'étal.
Nos sens sont en éveil : les denrées exhalent des fumets inoubliables et la vision des couleurs et des formes est une fête pour les yeux.
Owendo
Les ports d'Owendo
: d'importantes installations portuaires en eaux profondes se situent à Owendo, à une vingtaine de kilomètres au sud-est de Libreville sur l'estuaire du Komo. Trois zones se partagent le territoire. Le port à marchandises, où transitent la plupart des denrées et matériels importés ou exportés. Le port minéralier permet d'accueillir des bateaux d'une capacité de 40 000 tonnes, afin d'exporter le manganèse transporté depuis les sites d'extraction de Moanda par le Transgabonais. Le port à bois mérite d'être visité. Situé dans la baie de l'lgounié, il sert depuis 1979 au flottage des grumes provenant des chantiers forestiers, en partance pour l'étranger. Quel spectacle saisissant que de voir ces immenses radeaux de bois flottants sur le Komo ou encore ces assemblages géants aux tonalités jaunes, brunes et rouges posés à quai dans l'attente d'un prochain voyage !
A partir de PK5
De la gare routière en allant sur la route de Kango (NI), plusieurs quartiers populaires se succèdent, empruntant leurs noms au nombre de kilomètres qui les sépare du point kilométrique 0.
Arboretum de Sibang : à partir de l'échangeur du PK5, prendre la NI en direction de Kango. Au PK8 tourner à gauche vers la Société Gabonaise d'Assainissement (SGA) et suivre la piste jusqu'à la première intersection, prendre à gauche et passer un petit pont pour accéder à l'arboretum. En saison des pluies, un 4x4 est conseillé. L'arboretum a été amé nagé à partir de 1931 .L'Institut de Recherche Agronomique et roresnere (IRAF) en a actuellement la charge. Les 16 hectares, divisés en parcelles, sont plantés de la plupart des essences présentes au Gabon : teck, okoumé, acajou, fromager, ébène, ozigo, padouk, kévazingo, movingui, andoc... Aujourd'hui, il est difficile pour un néophyte de s'y retrouver tant se mêlent et s'entremêlent lianes et fougères. Cathédrale de silence et de beauté, où la nature reprend ses droits, l'arboretum est une promenade facile et instructive dans les faubourgs de Libreville. L'association "Aventures sans frontières" organise des sorties-découverte dans ce site.
La Chapelle Saint-Luc de Bikélé : prendre la Nia partir de l'échangeur de la voie rapide en direction de Kango. A 6,5 km, au niveau de Melen (PK 11), tourner à gauche après les grands bâtiments du marché de Bike1e. La piste est signalée par la pancarte "Clinique des deux Marie, accouchements". Après avoir dépassé la clinique d'environ 2 km, la chapelle est visible sur la gauche. Ce bâtiment en forme de hangar ouvert à tous les vents est cerné par des murs d'une hauteur d'environ un mètre. Seul le chœur est fermé par un mur pentagonal ajouré. L'aspect général est rustique, jusqu'à la jante de roue pendue à côté du tam-tam, faisant office de cloche. Des poteaux de bois sculptés d'une facture simple, en méplat, soutiennent l'avancée du toit. Le style dépouillé et pur, est plus graphique que celui des colonnes du porche de l'église de Nkembo à Libreville, réalisées quelques années plus tard par le même sculpteur, Zéphyrin Lendogno. Sur l'un des trois poteaux du-parvis, on remarque la succession de visages superposés qui s'intègrent parfaitement à la forme du support et témoignent de la grande maîtrise de composition de l'artiste. L'autel est porté par quatre pieds sculptés représentant les symboles des évangélistes, l'aigle, le lion, le boeuf et l'homme. De style différent, ces oeuvres plus massives dégagent une impression de puissance rassurante et de paix.
La baie de la Mondah
Pour une sortie dans la baie de la Mondah, s'adresser au restaurant "Le Débarcadère" qui loue pirogues et piroguiers à la journée. Tél. 752838. Au carrefour des Charbonnages, tourner deux fois à gauche. Itinéraire fléché. Repérer le panneau "risque de verglas" ! Réservation conseillée. Balade ou pêche à travers la mangrove sur les rivières, jusqu'à la Pointe Moka, puis retour par l'embouchure de la Mondah. Villages de pêcheurs Benga qui chassent les requins, varans, oiseaux... La vie sauvage dans la capitale ! Pirogues de 4 à 18 places : à partir de 50 000FCFA tout compris. Prévoir boissons, pique-nique, protections solaires et anti-moustiques. L'association "Aventures sans frontières" propose un circuit différent de Malibé à la Pointe Moka, tél. 75 16 03.
Les plages
Libreville possède quelques plages agréables, bordées de cocotiers et de badamiers, sur lesquelles des billes de bois se sont échouées. Les alluvions transportées par les fleuves et les rivières donnent à l'eau une couleur brune peu engageante. D'Owendo à Batterie IV, quelques plages sont praticables, mais dans l'ensemble leur accès est plus difficile (habitations et rochers). Du Dialogue jusqu'au Cap Santa Clara pour les courageux, le sable à marée basse est une invitation à la marche ou au jogging. Seule ombre au tableau, les immondices qui jonchent le sol.
La plage du Tropicana : quartier Tahiti. Plage de l'hôtel-estaurant du même nom, elle est privée et entretenue. Transat, matelas et parasol sont à la disposition du client pour environ 2 000FCFA. C'est moins tranquille le dimanche, l'endroit est très connu...
La Sablière : 2 km après l'aéroport prendre la route à gauche. La Sablière est d'abord un quartier très chic, où de belles maisons côtoient de luxueuses villas et de nombreuses ambassades. La plage est accessible par de nombreux chemins qui bordent ces propriétés. En continuant après le quartier des habitations, une piste de 3 km environ conduit à une plage longue de 10 km. C'est encore la Sablière et les "vieux blancs" racontent qu'autrefois c'était le rendez-vous des Librevillois. Chacun y possédait son cabanon. Aujourd'hui, on peut encore en louer, surtout à la Cocoteraie, mais la plupart sont tombés en décrépitude. Plus loin, la plage est moins fréquentée, des agressions ont été commises. Il est recommandé de n'avoir ni argent ni bijoux et un minimum de papiers.

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Libreville la nuit  

Bars de nuit, billards, karaoké
L'Annexe du Crépuscule : centre ville, face au magasin Leader Priée. Tél. 72 25 93. Bar de nuit. Hôtesses accueillantes.
Le Billard : avenue Colonel Parant, face au magasin Vidéo Monde. Tél. 74 52 00. Snack, bar et billards. Ouvert tous les soirs à partir de 18h. Bonne ambiance, musique et vidéos variées.
Le Blue Note Café : hôtel Okoumé Palace. Tél. 73 26 19/20 23. Piano-bar, karaoké, cocktails, restaurant. Ouvert à partir de 18h. Bonne ambiance, et en plus Gisèle et Laurence chantent très bien.
Games Land : Centre ville, derrière le Moka d'Or. Une salle non fumeur avec jeux électroniques et une salle de billards interdite aux moins de 16 ans. Bar et terrasse. Ouvert à partir de 14 h.
ChezJano : regroupe plusieurs petits bars dans la me qui descend vers la Discothèque "La Maringa". Bars africains très animés, ils sont appelés "le quartier". Ouvert toute la semaine, nuit et jour, c'est l'endroit idéal pour commencer sa soirée dans "l'ambiance" et pour les petites bourses.
Chez Maryse : boulevard Bessieux, entre le magasin Supergros et les bureaux de Pizo-Shell. A l'heure de l'apéritif, l'ambiance est sympathique, plus tard dans la soirée, c'est plus intime.
Le New Orléans : montée de Louis, sur la droite. Tél. 73 08 17. Bar américain, billards, snack. Bonne ambiance.
Le Perroquet Bleu : bord de mer. Bar, snack, tapas, karaoké. Ambiance sympathique et conviviale.

Discothèques

L'Amiral : première rue à droite dans la montée de Louis. Tél. 73 43 96. Musique actuelle, décor moderne. Bonne ambiance, spectacles ponctuels.
Le Cotton Club : face au Parc des Expositions. Tous les jeudis soirs, spectacle musical avec Gisèle et des groupes librevillois.
Le Diabolo, chez Fofana : quartier Quaben, derrière le restaurant "La Paillote". Ambiance et musique africaine.
Le Diam's : quartier Nombakélé, avant le feu rouge en direction du stade. Bonne ambiance.
Le Jo's Club : carrefour London. Tél. 72 88 47. Discothèque très moderne, effets spéciaux. Musique variée.

Le Macumba : zone industrielle d'Oloumi, dans la me de la société Sogec. Hôtesses accueillantes et chaleureuses.
La Maringa : bord de mer. Tél. 73 31 75. Plutôt chic. Différents genres de musique africaine. Très bonne ambiance. A côté le restaurant, pizzeria, grill, plats gabonais et européens. Plats entre 3 000 et 5 000FCFA
Le Monoï : tél. 74 28 28. Quartier Montagne Sainte, sous l'hôtel Equateur. Cocktail-bar, glacier, crêperie, discothèque. Décor tropical, ambiance aussi. Le Monoï et Alain, les incontournables de la vie nocturne librevilloise. Soirées à thème régulières. Musiques variées. Ouvert tous les jours, de 19h jusqu'à plus soif !
La crêperie : Alain a le secret d'excellentes crêpes salées ou sucrées, celle au saumon et à la crème est un délice. Crêpes de 2 500 à 5 500"FA.
L'Oxygène : quartier Montagne Sainte. Ambiance africaine.
Le 15/84 : bord de mer, entre la montée de Louis et le Dialogue. Soirées tous les mercredis et jeudis soirs, danses traditionnelles et défilés. Décor jeans, ambiance sympathique. Musique actuelle.
Le Scotch : de la Mairie. Discothèque.
Le Vertigo : quartier Montagne Sainte, à côté de la clinique Chambrier. Clientèle jeune, ambiance techno et rap.

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